12 oct. 2009

Abondance

Retour d'Itacaré, où nous avons fait nos emplettes pour quelques jours... c'est clair, nous aimons les fruits !!!

Une merveille de la nature...

Chaque jour qui passe apporte son lot de bonheur paisible à Casa Piracanga. Ici, la fleur d'un arbuste discret proche de notre maison, qui explose dans le soleil matinal...

11 oct. 2009

Planter des cercles de bananiers

Pour créer un cercle de bananiers, il faut déjà disposer de jeunes pousses, que vous trouverez... aux pieds d'autres bananiers ! Extrayez ces pousses en coupant la racine qui les relie au bananier-père et approchez-les de la zone de plantation...

Pour créer un cercle de bananiers, il vous faut ensuite dessiner un cercle dans le sable, et lui donner une certaine consistance... enfin... une réelle profondeur ! Bref, il vous faut creuser un trou de 2 mètres de diamètre environ sur un mètre de fond... et prévoir où entreposer les quelques (dizaines...) de brouettes de sable extraites dudit trou !

Lorsque vous avez sué sang et eau pour réaliser votre joli trou, remplissez-le de matières organiques sèches éventuellement déjà en décomposition : feuilles de tous types, branchages, restes organiques (non cuits) de nourriture, etc. Ce qui en représente une foutue foultitude, croyez-nous !

Déposez de la terre mélangée de feuilles et d'un peu de sable aux 4 (ou 5) coins du trou, et plantez-y vos jeunes pousses, que vous veillerez à arroser fréquemment dans les premiers temps (à moins que le ciel leur tombe sur la tête à intervalles réguliers)

Et avec un peu de patience (6 à 12 mois au plus), les premières fleurs puis les premiers régimes émerveilleront votre regard puis votre palais. Avoir les doigts verts à Casa Piracanga, c'est facile !



Instantané bonheur

Si ce n'est pas le bonheur qu'on lit dans les yeux de Sandrine et d'Alban, ça y ressemble diablement !!!

De nouveaux visiteurs à Casa Piracanga

Quand Jean-Marc, le kiné de l'équipe de France de football féminin, prend en charge les destinées de nos convives sur la terrasse de Casa Piracanga, ses 2m et 100+kg font merveille... et impressionnent beaucoup !
Merci à Martin et à son épouse Anne-Kathryn d'avoir partagé de très jolis moments avec nous. Nous pensons fort à eux qui affrontent désormais la grisaille bruxelloise... Quand revenez-vous?

Casa Piracanga, c'est LE spot de la région pour passer une soirée différente de celles proposées alentours : la table est sans égale ; on y trouve du bon vin argentin, chilien... et français ; la musique latina n'inclut pas seulement samba-reggae, forro et bossa nova, mais également salsa, merengue, zouk, bachata, etc. ; sur son pont, on y chante et on y danse ; et la nuit qui la clôture est toujours bercée par l'océan et les millions d'étoiles de la voie lactée qu'aucune pollution lumineuse ne vient dissimuler puisque qu'il n'y a aucun lampadaire à 10km à la ronde...













en haut) Laura et Florian ont débarqué de Bucarest par une belle journée de juillet... et ne sont plus jamais repartis ! Ils vont rester avec nous une année entière, peut-être deux, loin du stress de leur vie citadine... leur devise : gagner moins, mais surtout vivre tellement mieux !
(en bas) Théo le Suisse, Gabriel et Marcelo les Brésiliens, Olivia la madrilène et Dawn la Canadienne testent le cocktail roi de Casa Piracanga : la caïpirinha, qui a fait dire un jour à un de nos convives de passage que nous devrions renommer notre maison Casa Caïpiranga !

Esther est Kenyane d'origine, mais citoyenne du monde. Elle est arrivée un peu par hasard sur la péninsule de Marau, y a trouvé le repos qu'elle cherchait... et l'amour !


Alain l'Helvète bourlingueur (ci-contre) ne s'en plaindra surtout pas, l'heureux élu avait construit sa bicoque d'aventurier juste devant Casa Piracanga, espérant qu'un jour une voix féminine troublerait le silence des lieux... c'est désormais chose faite !