23 mars 2011

Des singes à Casa Piracanga !

Voici deux ans que nous plantons des bananiers
sur notre terrain; et près d'un an et demi qu'ils donnent
de petites bananes jaune vif, une soixantaine par régime.
Alors bien sûr, un tel foisonnement n'est pas sans attirer
les convoitises...

Ils sont arrivés dans une cacophonie indescriptible,
les yeux rivés sur le régime pendu contre une poutre en eucalyptus de notre terrasse.
Petit à petit, ils se sont encanaillés tel ce jeune micos
sur une des marches de notre escalier en colimaçon.

J'y vais ? ou j'y vais pas ?

Bon appétit, messieurs !

Ils sont partout !!!

Même sur les bambous ramassés sur la plage et que nous avons élégamment positionnés un peu partout alentours.

Attente... juste le temps que le maître de maison
ait le dos tourné.

Ils sont venus à 7, et ont englouti en 20 minutes
7 petites bananes ouro... pas chère la séance photos !

22 mars 2011

Le temps passe...

Notre vie à Piracanga est tellement pleine, riche, sereine, réussie, que nous en oublions tout contact avec le monde extérieur... jusqu'à ce blog que nous avons omis de mettre à jour depuis si longtemps ! Réparons cette erreur inadmissible avec quelques photos d'ambiance:

Balade dans notre jardin..

Une famille de lézards tricolores s'est installée
à quelques pas de la maison.

Près d'un cercle de bananiers, nous avons planté des bambous récupérés sur la plage au hasard de nos promenades solitaires.

Un des côtés de notre Casa, aménagé pour que la Nature
soit toujours plus présente.

Il y a des foultitudes de petits lézards dans le sable chaud entourant notre maison, à la recherche constante d'une larve ou d'un insecte imprudent.

Fred, notre voisin français, part à l'aventure à l'autre bout de la péninsule: vélo en alu pliable, kayak gonflable sur le dos, on sait quand l'animal quitte son havre de sérénité derrière chez nous, mais personne ne peut prédire quand il reviendra !

Papayer croulant sous le poids de ses fruits.

Mais quel est donc cet insecte juché sur le robinet
de notre cuisine ?

Sandrine apprécie ces longs moments de quiétude
dans son hamac assis.